Le zona est une maladie infectieuse. Il se manifeste par des douleurs parfois intenses, aiguës, d’un seul côté du corps ou du visage avec une éruption localisée de petites vésicules, c'est-à-dire de petites cloques. Site de l’association Kératocône, destiné aux patients et aux familles touchées par le kératocône, qui ont besoin d’information et de moyens pour lutter contre l’isolement. La fédération Thera Wanka est une association de patients, créée en 2012 et qui lutte pour la reconnaissance du syndrome douloureux régional complexe (SDRC) : l’algodystrophie (type 1) et l’algoneurodystrophie (type 2). Elle regroupe des associations et des structures qui défendent des pathologies rares et douloureuses touchant le système nerveux. Ces schémas permettent de visualiser simplement les 2 types de migraines existantes. La migraine est une maladie bénigne, caractérisée par des maux de tête, qui peut handicaper de façon importante la vie quotidienne. Votre médecin pourra les commenter avec vous. La DMLA est liée au vieillissement d’une zone particulière de la rétine. Elle est la première cause de cécité et de malvoyance chez les personnes de plus de 50 ans. La dégénérescence maculaire liée à l’âge (DMLA) est la première cause de malvoyance chez les plus de 50 ans. Voici, en images, les signes qui doivent vous alerter. Le kératocône est une maladie de l’œil qui altère la vision. Différentes mesures médicales ou chirurgicales peuvent corriger les troubles engendrés et permettre de continuer à mener une vie normale. Le glaucome est une maladie évolutive de l’œil qui peut être stabilisée par un traitement adapté qu'il faudra peut être modifier avec le temps. Le suivi par un ophtalmologiste est essentiel. Vous vous réveillez avec une paralysie du visage, Vous ne pouvez plus fermer un œil. C’est probablement une paralysie a frigore. Quelques notions vous permettent de comprendre son origine vraisemblable, sa prise en charge et la démarche à avoir si vous présentez une telle paralysie. L’œil peut être le siège de manifestations inflammatoires. Celles-ci sont banales, mais doivent être vues et prises en charge. Un bilan spécialisé n’est nécessaire qu’en cas de manifestation atypique, persistante ou récidivante. |
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Décembre 2018
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